La Gendarmerie Nationale stop un trafic de faux pass sanitaires, zataz trouve une vente de 48 millions de QRcode !
En quelques mois, des pirates informatiques réussissent à écouler plus de 62 000 faux pass sanitaire en piratant des médecins. Pendant ce temps, un autre pirate annonce vendre 48 millions de QRcodes valides !
Très joli coup de filet pour la Gendarmerie Nationale et les militaires de la gendarmerie de Poitiers et de Charente-Maritime. A la suite de plusieurs semaines d’enquêtes, les gendarmes mettent la main sur une bande organisée qui a vendu plus de 62 000 faux pass sanitaires.
Tout a débuté aprés la plainte d’un médecin basé sur l’île de Ré. Septembre 2021, son compte professionnel ne répond plus. Impossible pour cette professionnelle de santé de générer les pass sanitaires pour sa patientèle.
Un pirate a réussi à mettre la main sur son accès via un phishing aux couleurs de l’Assurance Maladie. Plusieurs médecins ont ainsi été piégés. ZATAZ vous montrait, il y a quelques mois, un outil pirate dédié à l’infiltration de compte AMELI.
Usurpation d’identité parfaite, la bande de pirates n’avait plus qu’à générer, sous l’identité numérique de la doctoresse, des documents sanitaires.
Mercredi 26 janvier, fin de partie pour cinq individus (22 à 29 ans) basés en région parisienne et du côté de Lyon. Ils ont été arrêtés. Les pirates ne faisaient pas cela pour aider, mais pour gagner de l’argent. Ils viennent de gouter au « FBI 2.0 » de la Cyber hexagonale, le Commandement de la gendarmerie dans le cyberespace.
48 millions de QRcode Stop Coronavirus dans la nature
Pendant ce temps, ZATAZ découvre sur la toile une vente pas comme les autres de QR Code Stop Coronavirus. Des QRCodes valides vendus par un pirate informatique croisé dans les méandres du web malveillant.
Les informations ont été exfiltrées de l’application téléphonique GOSUSLUGI STOPCORONAVIRUS russe. « La base de données contient des QRcodes valides et des données de certificats » indique ce vendeur totalement inconnu de la communauté des pirates spécialistes de la vente de données volées.
Pour plus de 4 millions de certificats d’habitants de Moscou, 15 000 dollars US ; Saint-Pétersbourg, 5 000 $ US. La base de données complète de 48 millions d’enregistrements « pour la russie entière« , 100 000 dollars US.
L’échantillon diffusé que ZATAZ a pu consulter peut être testé sur un site Russe qui explique découvrir « votre billet pour le camp de concentration numérique« . Un site qui permet de générer des QRCodes valide sur une fausse identité. Dans le cas du pirate, cela permettrait de prouver la véracité de sa base de données !
Dans ce que j’ai pu constater, via un extrait de 10 000 comptes : Les premières lettres du nom complet en russe et en anglais ; Dates de naissance ; UNRH (numéro unique d’enregistrement du patient) ; Les deux premiers chiffres de la série et trois derniers chiffres du numéro de passeport ; Le nom du vaccin en russe et en anglais et le QRCode, au format PNG encodé en Base64 et sa date d’expiration. Une base de données qui ne contient pas de données personnelles des citoyens vaccinés. Le pirate a exploité une faille dans l’application Gosuslugi. Vulnérabilité qui avait été révélée la presse locale au mois d’août 2021.
Incroyable! Les pédophiles, les violeurs, les voleurs, les trafiquants d´enfants se baladent librement dans les rues, et on extermine violemment les vendeurs de faux pass sanitaire pour EMMERDER tous ceux qui sont contre la tyrannie vaccinale imposée à la population sans aucune preuve d´isolation du virus. Bravo la justice!