Piratage d’un casino en ligne
Vous pariez sur les matchs de football ? Vous aimez la boxe Thaï et taquinez la roulette ? Un hacker vient de diffuser les informations de plus de 200 000 usagers d’un casino en ligne basé en Thaïlande.
Vous êtes amatrices ou amateurs de casinos. Vous vous promenez de temps en temps hors zone sécurisée proposée par l’ANJ, l’Agence Nationale des Jeux. Vous avez peut-être croisé la route de casinos basés en Thaïlande, à l’image de L.S.M.99. Les matchs de football Européens y sont en bonne place, tout comme de nombreux joueurs en tête de gondole (Messi, Etc.) de cet espace de gambling numérique.
Un pirate informatique vient de diffuser l’intégralité des données internes de ce casino en ligne. 300MB d’identité, de numéros de téléphones, de mots de passe (hashés), de numéro de SIM (pour les connexions via l’application mobile), Etc. Le pirate n’explique pas sa méthode, mais en regardant les documents diffusés, des bases de données SQL, j’ai retrouvé la primo source. L’accès à un espace nuagique d’un partenaire, un spécialiste du cloud ayant des bureaux aux USA et en Inde.
Ce partenaire stocke toutes les informations du centre d’appel du casino et les messages passés par sa messagerie en ligne dans une espace nuagique protégé avec les pieds.
Intéressante fuite, surtout aprés celle révélée par ZATAZ, mi-janvier, de 60 millions de comptes de joueurs et joueuses de casinos vendus par un pirate informatique.
Pour rappel, jouer sur des casinos non autorisés par les autorités de votre pays, l’ANJ par exemple pour la France, vous met en danger. D’abord par le fait que le casino peut être une escroquerie (vous perdrez obligatoirement) ; que le taux de réversion n’est pas celui contrôlé et imposé ; vous filez peut-être votre argent à une mafia locale ; que les partenaires de ces casinos sont plus proche du bandit manchot que du professionnel respectueux des réglementations en vigueur.
Assurez-vous que votre espace de jeux possède bien une licence. Les opérateurs agréés sont 17 sur le territoire hexagonal.