Un graphiste français jugé pour des abus sur mineurs : il achetait des lives streaming violent !
Coup de tonnerre dans le monde du cinéma d’animation : Un graphiste français jugé pour des abus sur mineurs. Il est jugé jusqu’au 31 octobre pour avoir payé des « live streaming » d’actes violents sur des enfants !
Un choc monumental frappe le monde du cinéma d’animation, qui perd l’un de ses talents en raison d’une affaire sordide. À Paris, un graphiste français de 59 ans est jugé à partir d’aujourd’hui pour des actes d’une extrême gravité. Connu pour ses contributions à des productions renommées comme « Ratatouille, » « Les Indestructibles » et « Là-Haut, » il est accusé d’avoir commandé des vidéos impliquant des actes violents sur des enfants, selon des révélations du Figaro. Les faits, qui secouent aussi bien les grands studios de cinéma que le public, sont d’une ampleur inouïe.
D’un talent reconnu à l’ombre de la criminalité
Ce graphiste, autrefois prisé par les studios Disney, Pixar, et DreamWorks, a participé à l’animation de personnages marquants et de scènes iconiques. Son nom, respecté de part et d’autre de l’Atlantique, revient régulièrement dans le monde de l’animation pour sa maîtrise artistique. En 2019, cependant, l’homme a été repéré par Interpol à cause de transferts d’argent suspects – 50 000 euros – à destination des Philippines, pays tristement connu pour des cas de violence en « live streaming. »
Les investigations, menées pendant quatre ans et coordonnées entre Europol et les autorités françaises, ont révélé une affaire d’abus et de traite d’êtres humains d’une gravité exceptionnelle. Le graphiste aurait passé commande de vidéos de violence sur de jeunes filles de 3 à 15 ans, dans lesquelles les parents des victimes exécutaient des actes violents en échange de sommes d’argent. Le nombre de ces actes, estimé à plus de mille, illustre l’ampleur des abus. Le suspect, qui a reconnu les faits, a également admis être conscient de l’horreur vécue par les victimes.
Récidive et jugement en France
Ce n’est pas la première fois que cet homme se retrouve face à la justice. Il avait déjà été condamné pour des faits d’agression sur la fille d’une ancienne compagne. Désormais, il comparaît devant la cour criminelle de Paris, où il encourt une peine de quarante ans de prison pour complicité d’abus sur mineurs et traite d’êtres humains. Le procès, qui se déroulera jusqu’au 31 octobre, est suivi de près par de nombreuses personnes, consternées de voir un artiste de cette envergure impliqué dans une affaire d’une telle noirceur.
Pour les grands studios américains, qui ont plébiscité son travail durant des décennies, cette affaire est un coup de massue. Des films ayant bercé des générations portent désormais les traces d’une sombre réalité cachée derrière la magie de l’animation. Ce procès soulève également des interrogations sur la vérification des antécédents et la prévention des abus parmi les professionnels travaillant avec et pour des enfants.
Il est si connu que l’on ne dit pas de qui il s’agit ???