Un pirate russe dévoile son installation [et vous n’allez pas y croire]
Exclusif – Les pirates russes, parmi les plus redoutés au monde, peuvent, dit-on, pirater n’importe quel serveur à l’échelle mondiale les yeux fermés. L’un d’entre eux, affilié à KillNet, nous dévoile son espace de travail, et vous allez être surpris !
Sur le web, il est courant de tomber sur des images stéréotypées de « hackers », installés dans des décors futuristes ou des cyber centres improvisés. Ils portent souvent une capuche, leurs ordinateurs sont éclairés de manière spectaculaire avec des éléments décoratifs, des affiches aux murs, des écrans interactifs, et d’autres gadgets dernier cri qui clignotent. Et si le hacker est russe, l’imagination collective voudrait qu’il soit capable de pirater la planète entière en un battement de cils.
« Nous avons décidé de mettre fin à ces clichés ! » déclare le leader du groupe de hackers prorusses, Killnet. Pour déconstruire cette image, une photo d’un poste de travail typique de Killnet a été partagée. Et attention, ce sera un choc pour les experts en matériel, les perfectionnistes de la gestion des câbles et les passionnés de PC ultrapuissants avec 128 Go de RAM, résolution 8k, et RTX 4090. « Voici une photo authentique… Tout est simple et efficace. Pas de fanfreluches ni d’excentricités. C’est ainsi que nous consolidons la suprématie de notre nation sur le front cybernétique« .
Les machines semblent tout droit sorties des années 90, et la gestion de l’électricité laisse à désirer. Tout ça pour des attaques DDoS ! L’ambiance rappelle étrangement les fermes de bots récemment démantelées par la police ukrainienne.
L’armée d’internautes agissant sous le pseudonyme Killnet lancent des cyberattaques de type DDoS à l’encontre des pays opposés à la politique militaire de la Russie.
Il y a même une caméra pour surveiller l’extérieur du bâtiment.Comprendre que si les autorités décident de venir chez lui ,il pourra tout « cramer » ( façon de parler) en perdant le minimum.
Hmmm, m’est avis que le cadre et l’espacement des fenêtres peuvent déjà fournir quelques indices sur le bâtiment. Et si les autrorités russes ou autres ne viennent pas au portillon, la méthode risque d’être plus radicale; et peu importe si ça bave.
Sans compter le fait qu’il doit utiliser des logiciels qui n’ont pas été développé par lui même donc potentiellement vérolés .Par conséquent il va utiliser des vieilles machines , spécifiquement utilisées pour du hack .
Pour finir le fait d’utiliser des vieux pc est susceptible d’être plus intéressant car moins puissant si il y a un malware sophistiqué ( qui a été développé sur une machine récente ) celui ci fera ramer la vieille machine et alors le pirate pourra voir qu’il y a un souci donc faire un audit de sécurité de sa machine.