[VIDÉO] – Des pirates mettent en ligne des fausses boutiques au nom de vrais commerçants.

Les hackers malveillants ont de la suite dans les idées comme le montre cette nouvelle affaire visant un commerçant français. Il n’a pas de boutique en ligne, des pirates s’en chargent !

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Dans une petite ville pittoresque, M. X était le fier propriétaire d’une charmante boutique de produits locaux, un lieu apprécié des habitants pour son ambiance chaleureuse et ses articles uniques. Ne voyant pas l’intérêt de s’étendre sur le web, M. Dubois avait toujours préféré les interactions en personne et la vente traditionnelle.

Cependant, un jour, sa routine paisible fut bouleversée. Lors d’une matinée ordinaire, une cliente habituée, Madame Lefèvre, entra dans la boutique avec un air perplexe. Elle tenait dans sa main son smartphone, affichant un site internet au nom de la boutique de M. Dubois. « Je ne savais pas que vous vendiez en ligne », dit-elle, montrant à M. Dubois des articles qu’il n’avait jamais vus auparavant.

Confus, M. Y inspecta le site. À sa grande surprise, il découvrit une version numérique de sa boutique, mais avec des produits qu’il n’avait jamais stockés : gadgets technologiques dernier cri, articles de luxe, et même des promotions incroyables sur des produits inexistants. Le site semblait professionnel, avec le logo de sa boutique et des descriptions alléchantes.

M. Dubois réalisa rapidement qu’il était victime d’une usurpation d’identité en ligne. Des pirates avaient créé un faux site web en son nom, attirant les clients avec des offres trop belles pour être vraies. Les clients, séduits par ces offres, commandaient et payaient, mais ne recevaient jamais rien.

Derrière cette histoire fictive se cache des dizaines de vrais cas comme la vidéo ci-dessous ou encore avec la vente de bois via de faux sites usurpateurs.

Au sujet de l'auteur
Damien Bancal (damienbancal.fr) est un expert internationalement reconnu en cybersécurité. Il a fondé le projet Zataz en 1989. ZATAZ.com est devenu une référence incontournable en matière d'information sur la sécurité informatique et les cybermenaces pour le grand public. Avec plus de 30 ans d'expérience, Damien Bancal s'est imposé comme une figure majeure dans ce domaine, contribuant à la sensibilisation et à la protection des internautes contre les cyberattaques. Sa carrière est marquée par une forte implication dans l'éducation à la cybersécurité, notamment à travers des conférences et des publications spécialisées. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages (17) et articles (plusieurs centaines : 01net, Le Monde, France Info, Etc.) qui explorent les divers aspects du piratage informatique et de la protection des données. Il a remporté le prix spécial du livre du FIC/InCyber 2022. Finaliste 2023 du 1er CTF Social Engineering Nord Américain. Vainqueur du CTF Social Engineering 2024 du HackFest 2024 (Canada). Damien Bancal a également été largement reconnu par la presse internationale dont le New York Times, qui souligne non seulement son expertise mais aussi son parcours inspirant. Par exemple, un portrait de La Voix du Nord le décrit comme "Monsieur Cybersécurité", soulignant son influence et son rôle essentiel dans ce domaine. Enfin, il figure parmi les personnalités les plus influentes dans la cybersécurité, comme le souligne Le Big Data, et a été classé parmi les 500 personnalités tech les plus influentes en 2023 selon Tyto PR. Chroniqueur TV et Radio (France Info, M6, RTL, Medi1, Etc.) Volontaires de la réserve citoyenne - Gendarmerie Nationale et de l'Éducation Nationale. Médaillé de la DefNat (Marine Nationale) et de la MSV (Gendarmerie Nationale). Entrepreneur, il a lancé en 2022 la société veillezataz.com.
  1. Thomate Reply

    Les marques n’ont pas besoin de ne pas avoir de boutique en ligne pour que des arnaqueurs sévissent. Les faux sites pullulent et les publicités autour aussi, sur des sites comme Facebook par exemple. Dernièrement, Klim et Mammut en font les frais et les signalements sont systématiquement rejetés. Ils suffit de faire une recherche whois sur le nom de domaine pour se rendre compte que son dépôt est récent et que le « propriétaire » n’est absolument pas la marque censée en être à l’origine…

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