[VIDÉO] – Des pirates mettent en ligne des fausses boutiques au nom de vrais commerçants.
Les hackers malveillants ont de la suite dans les idées comme le montre cette nouvelle affaire visant un commerçant français. Il n’a pas de boutique en ligne, des pirates s’en chargent !
Dans une petite ville pittoresque, M. X était le fier propriétaire d’une charmante boutique de produits locaux, un lieu apprécié des habitants pour son ambiance chaleureuse et ses articles uniques. Ne voyant pas l’intérêt de s’étendre sur le web, M. Dubois avait toujours préféré les interactions en personne et la vente traditionnelle.
Cependant, un jour, sa routine paisible fut bouleversée. Lors d’une matinée ordinaire, une cliente habituée, Madame Lefèvre, entra dans la boutique avec un air perplexe. Elle tenait dans sa main son smartphone, affichant un site internet au nom de la boutique de M. Dubois. « Je ne savais pas que vous vendiez en ligne », dit-elle, montrant à M. Dubois des articles qu’il n’avait jamais vus auparavant.
Confus, M. Y inspecta le site. À sa grande surprise, il découvrit une version numérique de sa boutique, mais avec des produits qu’il n’avait jamais stockés : gadgets technologiques dernier cri, articles de luxe, et même des promotions incroyables sur des produits inexistants. Le site semblait professionnel, avec le logo de sa boutique et des descriptions alléchantes.
M. Dubois réalisa rapidement qu’il était victime d’une usurpation d’identité en ligne. Des pirates avaient créé un faux site web en son nom, attirant les clients avec des offres trop belles pour être vraies. Les clients, séduits par ces offres, commandaient et payaient, mais ne recevaient jamais rien.
Derrière cette histoire fictive se cache des dizaines de vrais cas comme la vidéo ci-dessous ou encore avec la vente de bois via de faux sites usurpateurs.
Les marques n’ont pas besoin de ne pas avoir de boutique en ligne pour que des arnaqueurs sévissent. Les faux sites pullulent et les publicités autour aussi, sur des sites comme Facebook par exemple. Dernièrement, Klim et Mammut en font les frais et les signalements sont systématiquement rejetés. Ils suffit de faire une recherche whois sur le nom de domaine pour se rendre compte que son dépôt est récent et que le « propriétaire » n’est absolument pas la marque censée en être à l’origine…