Vidéo surveillance et objets connectés : alors… on bais* ?
La grande mode des caméras de vidéo surveillance par Internet peut vous mettre en danger. La preuve avec papa et maman !
« Chéri(e), tu faisais quoi le 14 septembre, entre 11h et 11h30 ? ». Dans l’une des cyber-surveillance mis en place par le service veille ZATAZ, le message d’un pirate informatique m’a fait tendre l’oreille. Il était fier d’avoir mis la main sur des caméras de vidéo surveillance.
Le piratage de caméra n’est pas une nouveauté. Leur protection, pourtant, devrait être la première des actions de chaque utilisateur.
Ce genre de caméra, l’un des cadeaux connecté qui pourrait se trouver sous le sapin de Noël 2019. Mais pourquoi vous parler de ça aujourd’hui ?
L’image ci-dessous suffira à mille mots.
Une caméra et son mot de passe d’accès à distance qui n’a pas été changé ? Un identifiant qui est peut-être identique sur d’autres espaces web ? Identifiant volé sur des sites piratés. Des informations récupérées par phishing ? Toujours est-il que le pirate que je vous présente aujourd’hui dans cet article a diffusé des images d’une cam’ qu’il a « infiltré » !
Que faire ?
Pour rappel, une photo, comme une vidéo, ont plusieurs plans, donc plusieurs informations possibles. Cadres sur les murs, documents sur les tables, …
Une notice, un mode d’emploi se lisent.
Un mot de passe est indispensable ! Il doit être différent de vos autres sésames. Il ne doit pas être celui proposé par le fabriquant de l’appareil !
Pour conclure, contrôler vos sauvegardes. Où sont-elles situées ? Comment les détruire ?
Espérons juste que ces monsieur/dame ne sont pas en mode « Je trompe mon/ma conjoint(e)« . Sinon, la fuite risque d’être fatale !
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