Serveur privé virtuel : Kesako ?
En cette période de confinement, les sujets informatiques, cyber peuvent ressortir des bureaux et piles de documents jamais traités par manque de temps. Aujourd’hui, allons jeter un œil du côté des Serveurs privés virtuels. On a été poser la question au numéro 1 Européen du sujet, OVHCloud.
Bon, ok ! Cet article de blog est un peu cocardier. J’aurai pu choisir pleins d’autres hébergeurs. Mais bon, maintenant que je suis loin de la France, je me suis dis pourquoi ne pas jeter mon dévolu sur OVH. Pour rappel, cet hébergeur (hébergements, serveurs et cloud computing) Français est le numéro 1 en Europe de l’hébergement. Il se nomme d’ailleurs, depuis quelques mois OVHCLOUD.
Pour vous donner une petite idée, je vis aujourd’hui à Montréal. Et devinez qui je croise (quand on pouvait sortir sans risque de pourrir la santé des autres, NDR), … des employés de la société Roubaisienne (Hauts-de-France). Bref, tout ça pour dire, que cette entreprise va nous servir aujourd’hui à parler de VPS (serveur privé virtuel).
VPS ? Kesako ?
Déjà, commençons par la base. VPS, c’est quoi ? Un serveur privé virtuel (VPS – Virtual Private Server) est un serveur dédié virtualisé. En gros, vous avez un serveur qui héberge plusieurs serveurs vituels totalement indépendants. C’est l’opposé d’un hébergement mutualisé où se retrouvent dans un même lieu, 5, 10, 100 sites web. Autant dire que, pour en avoir des exemples chaque jour, il faut prier que le serveur soit bien configuré, sécurisé et qu’aucun autre site dans le mutualisé soit faillible à une quelconque injection de fichier malveillant, un shell par exemple. Sinon, tout le monde va en prendre pour son grade.
VPS pour un site web confortable ?
« Contrairement à un hébergement web mutualisé où la gestion technique est prise en charge par l’hébergeur, souligne OVH, c’est vous qui administrez totalement votre VPS. » Si administrer cet espace vous inquiète, dites vous que les avantages sont 100 fois plus nombreux. D’abord, le choix de votre système d’exploitation (Linux, Windows, …) et des outils connus et reconnus disponibles. Bref, déjà là, vous pouvez retrouver vos « tools » préférés.
La grande force d’un VPS sera aussi du côté de la puissance. A la différence du mutualisé qui vous impose de « travailler » avec des ressources partagées entre l’ensemble des sites hébergés au même endroit, le VPS exploite une puissance numérique qui vous est entièrement dédiée.
Bilan, vous pouvez faire évoluer vos besoins. Vous avez besoin de plus de ressource ? Le VPS va vous permettre de rajouter. Vous en consommez moins que prévu ? Ici aussi, vous pouvez baisser la note, quelle soit numérique mais aussi financière.
Pour OVH, par exemple, une application (ou directement via le site web) permet en deux clics de souris de rajouter ou retirer du stockage, des ressources utiles/inutiles. A noter que OVH Cloud propose 30 datacenter dans le monde (France, Canada, Sydney, Pologne, Singapour …)
Je finirai par un dernier avantage du VPS (comme vous l’aurez compris, il y en a plein d’autres : sandbox, faire du multisite, …) et il s’adresse aux amateurs de jeux vidéo 🙂 Avec le confinement, un excellent moyen de se pencher sur la création d’un hébergement pour son jeu vidéo préféré (Minecraft, WoW, …). Un VPS SSD débute à 3,99€ par mois ! Un quatre cœurs, 24 Go de RAM et 100 Go de stockage pour moins de 30€.
Et je ne dis pas ça parce que le confinement vient de me permettre de relancer ma chaîne Twitch 😀
Mais heuuu, avec toutes les failles au niveau des cpu ( meltdown spectre) qui permettent sur des plateformes virtuelles d’accéder à des ressources d’autres vm ( mémoire notamment) hébergées sur le même hôte, comment peut on parler de ce type de technologie sans crier garde ???
J’ai loupé qqchose